Océan Air
2008
Océan Air est un spectacle musicale dont les paroles ont été écrites par Timothée de Fombelle.
Durée : 70 minutes
Conception et chorégraphie Valérie Rivière Création musicale Chazam Artistes chorégraphiques Orin Camus, Alexandre Gbeblewoo, Chloé Hernandez, Ji-Hye Jung, Katia Noir, Stéphanie Pignon. Musiciens et voix Chazam, Vincent Mérienne, Guillaume Siron Textes Timothée de Fombelle Voix off Cécile de France Animation Studio Black Bunny Vidéo / images additionnelles Martin Hardouin Duparc Régisseur vidéo Grégory Martin Création lumière Éric Blosse Régie lumière Emmanuel Bassibe |
Ingénieur son
Guillaume Siron Scénographie, costumes by (PLO) Technicienne costumière Michelle Amet Coproducteurs Théâtre Paul Éluard - scène conventionnée de Bezons, Office Artistique de la Région Aquitaine, Le Carré des Jalles de Saint-Médard en Jalles, l’IDDAC-Institut départemental de Développement Artistique et Culturel, la Mairie de Libourne/Service Festivités et Actions Culturelles. Aide à la maquette et à la production DICREAM Aides à la création Spedidam, Adam Crédits photos Frédéric Desmesure Studio Black Bunny Captation Le dessous des balançoires |
« Ocean Air » : l’expérience de la couleur bleue, l’intérêt pour l’eau et l’air.
Cette couleur, froide, apaisante, détail séquentiel du monde réel,
interroge sans cesse la mémoire au travers des sensations qu’elle évoque,
les sentiments universels suscités par la nature. La plus profonde
des couleurs, la plus immatériellefaite de transparence et
de vide accumulé, le bleu suscite un désir de surnaturel.
L’œil s’y enfonce sans rencontrer d’obstacle, s’y perd à l’infini.
Elle appelle des sensations thermiques, le crépuscule et l’ombre.
« Ocean Air » est la conséquence de cette réflexion autour du bleu
mais aussi le questionnement de la présence du corps réel et
du corps virtuel - se centrer sur des images fragmentaires de la réalité,
faire émerger des paradoxes vécus entre le territoire de l’intime
et la massivité du corps - la pluralité de ces points de vue m’entraîne
vers une lecture alternative focalisée dans des conversations
picturales toujours mobiles.
Valérie Rivière
Cette couleur, froide, apaisante, détail séquentiel du monde réel,
interroge sans cesse la mémoire au travers des sensations qu’elle évoque,
les sentiments universels suscités par la nature. La plus profonde
des couleurs, la plus immatériellefaite de transparence et
de vide accumulé, le bleu suscite un désir de surnaturel.
L’œil s’y enfonce sans rencontrer d’obstacle, s’y perd à l’infini.
Elle appelle des sensations thermiques, le crépuscule et l’ombre.
« Ocean Air » est la conséquence de cette réflexion autour du bleu
mais aussi le questionnement de la présence du corps réel et
du corps virtuel - se centrer sur des images fragmentaires de la réalité,
faire émerger des paradoxes vécus entre le territoire de l’intime
et la massivité du corps - la pluralité de ces points de vue m’entraîne
vers une lecture alternative focalisée dans des conversations
picturales toujours mobiles.
Valérie Rivière